LE MYTHE D’ORPHÉE Danse-théâtre
Informations importantes
Adaptation pour la scène d’Isabelle Hubert
Mise en scène d’Alan Lake et Frédérique Bradet
Chorégraphies d’Alan Lake
En coproduction avec Alan Lake Factori(e)
En collaboration avec La Rotonde
SYNOPSIS
Musicien et poète aux talents exceptionnels, Orphée jouait de sa lyre pour charmer les animaux sauvages et émouvoir les êtres inanimés. De retour d’un voyage en Égypte avec les Argonautes, il épouse la très belle Eurydice dont il est amoureux fou. Le jour même de leur mariage, fuyant les avances d’Aristée qui la pourchasse, Eurydice pose son pied sur un serpent venimeux caché dans les hautes herbes. Mordue par la bête, la belle meurt et descend aux Enfers. Orphée, inconsolable, défie toutes les conventions et fonce, tête baissée, dans le royaume des Enfers pour tenter de ramener son aimée dans le monde des vivants.
DISTRIBUTION










CONCEPTION
- Antoine Berthiaume : Musique
- Keven Dubois : Éclairages
- Sasha Dion : Dramaturgie
- Élène Pearson : Costumes
- Eve Rousseau-Cyr : Répétitrice
TEXTE
Isabelle Hubert
Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada, en 1996, Isabelle Hubert a vu une dizaine de ses textes créés sur les scènes de et du Québec. Parmi eux, mentionnons Couteau, sept façons originales de tuer quelqu’un avec…, Boudin, révolte et camembert, À tu et à toi (production finaliste pour le Prix de la critique de Québec 2007-2008), La robe de Gulnara (Prix de la critique de Québec 2009-2010), Laurier Station, 1001 répliques pour dire je t’aime (Prix Coup de Coeur Télé-Québec, FAIT 2012), Frontières et Le cas Joé Ferguson. Auteure polyvalente, elle a aussi adapté des romans pour la scène (Agaguk d’Yves Thériault, Moby Dick d’Herman Melville, Les Plouffe de Roger Lemelin, La Bête à sa mère de David Goudreault), écrit des comédies d’été qui connaissent beaucoup de succès, prêté sa plume à des projets muséologiques et participé à titre de scénariste à quelques projets de cinéma et de télévision. Elle a réalisé plusieurs résidences d’écriture, entre autres, à Londres, à Villeneuve-lès-Avignon et en Guadeloupe. Depuis 2005, elle enseigne l’écriture dramatique à l’Université Laval.
MISE EN SCÈNE
Alan Lake
Alan Lake est interprète, chorégraphe, réalisateur et artiste en arts visuels. Il a étudié les arts visuels pendant cinq ans (DEC et BAC en arts visuels) et obtiendra son DEC technique en Danse-interprétation en 2007 à l’École de danse de Québec. Depuis, c’est avec le cumul d’une expérience et d’une pratique pluridisciplinaire qu’il aborde désormais le geste, en consacrant son quotidien à la danse. L’objectif de son travail est de faire cohabiter ces disciplines en un lieu commun au service du mouvement. Il a présenté son travail de chorégraphe à Québec, à Montréal et au Canada avec, entre autres : Suite pour trois assiettes (2003), Le blé près de chez nous (2004), L’après-midi-oiseaux (2006), Dany and Me too (2009), Chaudières, déplacements et paysages (2010), Là-bas, le lointain (2012), Ravages (2015), Les caveaux (2016), Le cri des méduses (2018) et Gratter la pénombre (2019).
Frédérique Bradet
Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Québec en 2007, on a pu voir Frédérique Bradet dans plus d’une trentaine de productions sur les scènes du Québec et d’ailleurs, parcourant tous les registres, de la création contemporaine aux grands classiques théâtraux. Très impliquée dans la création théâtrale, Frédérique Bradet est cofondatrice et coordonnatrice artistique du Collectif Nous Sommes Ici avec lequel elle a entre autres créé Changing Room, Singulières et le Noshow, spectacle qui a d’ailleurs connu un vif succès autant au Québec qu’en Europe. Au fil des quinze dernières années, elle a enseigné dans plusieurs institutions et organismes, à des élèves de tous les niveaux, du préscolaire au collégial. Elle est professeure de diction au Conservatoire de musique de Québec et au Conservatoire d’art dramatique de Québec depuis 2019 et signait la mise en scène de L’Usine, au Théâtre Périscope, à l’automne dernier.